GnuCash est un programme de suivi de vos finances personnelles. Quelques-unes
de ses fonctions sont :
Des comptes multiples, qui peuvent
être ouverts en même temps. Créez un compte GnuCash
pour chacun de vos comptes bancaires.
Chaque compte garde un solde actuel en plus
d'un solde de rapprochement, alors vous pouvez suivre les transactions
qui n'ont pas encore été pointées, comme les chèques
en cours de règlement qui n'ont pas encore été débités
de votre compte.
Interface facile à utiliser.
Si vous savez utiliser
le talon de votre carnet de chèques, vous savez utiliser GnuCash.
A la fin du mois,
ouvrez la fenêtre de rapprochement, entrez le solde final
de votre relevé bancaire, et pointez les transactions qui apparaissent
sur celui-ci. Cela permet de faire concorder ce que vous avez enregistré
dans GnuCash avec ce que votre banque vous a rendu-compte, cela rend facile
le dépistage de n'importe quel écart ou erreurs.
QuickFill (saisie rapide)...
Lorsque vous
commencez une saisie dans les champs de description, s'il retrouve une
précédente transaction, il vous la propose, frappez <TAB>
copiera alors la précédente transaction. C'est commode si
vous avez des transactions semblables assez régulièrement.
Portefeuille d'actions/de sociétés d'investissements
(n.d.t: pour ces dernières : FCP et SICAV en France).
Suivis d'actions
individuellement (une par compte) ou dans un portefeuille de comptes (un
groupe de comptes qui peuvent être affichés ensemble).
Il y a
des outils pour automatiser la collecte des
cours des actions.
Support pour de multiples monnaies
et comptes demarché des changes/devises. (partiel,
toujours défaillant)
Les comptes
bancaires peuvent être établis dans différentes monnaies,
et des ventes/achats à des taux de change variables peuvent être
fait, comme les actions peuvent vendues/achetées à des prix
variables.
Rapports. Affiche ou produit en HTML
les rapports du solde, transaction et pertes/profits, ainsi qu'un suivi
du solde du compte de manière graphique (requiert gnuplot).
Fonctions Avancées
X-Accountant possède quelques-unes des fonctions qui ne se trouvent
pas habituellement dans un simple logiciel de gestion de finances personnelles
:
Un compte principal
peut avoir un classement de petits comptes ou de comptes spécialisés
au-dessous de lui. Cela permet d'avoir des types de comptes semblables
(par exemple : Espèces, Banque, Actions) qui peuvent être
groupés dans un compte principal (par exemple: Possessions ou Avoirs).
Chaque transaction
implique deux comptes, et chaque transaction est requise pour équilibrer.
Cela donne l'assurance que l'ensemble total des livres sera lié
correctement, et prévient entièrement les erreurs de déséquilibre
de soldes.
(Chaque
transaction apparaît dans deux comptes; un compte est débité
et l'autre est crédité avec exactement le même montant.
Avec le double livret, une transaction affichée dans une fenêtre
sera automatiquement mise à jour dans toutes les autres fenêtres
montrant cette transaction, et dans les deux comptes.)
Le produit
Quicken
d'Intuit a ce qu'ils appellent des "catégories", qui sont utilisées
pour suivre les revenus et dépenses. Celles-ci devraient être
utilisées pour créer des rapports Profits/Pertes. Correctement
utilisées avec la fonction du double livret, elles peuvent être
utilisées pour créer un Bilan et un rapport des Profits et
des Pertes. Par exemple, l'épargne des intérêts du
compte, les dividendes d'actions, ou la feuille de paie peuvent être
marqués l'un et l'autre comme dépôt dans un compte
bancaire, et comme gains/revenus dans un compte de type Revenus, utilisant
la fonction du double livret (transfert). De la même manière,
les paiements par la carte de crédit peuvent être notés
dans un compte de carte de crédit, en plus du compte correspondant
aux dépenses.
Registre général/Grand livre
Des comptes multiples
peuvent être affichés dans une fenêtre registre au même
moment. Cela peut soulager de l'ennui du dépistage d'erreurs de
saisie ou d'enregistrement .Il permet aussi une vision pratique d'un portefeuille
contenant beaucoup d'actions, en y montrant toutes les transactions de
ce portefeuille.
Le schéma de numérotage pour GnuCash est semblable à
celui du noyau Linux, où les sous-versions "paires" indiquent des
versions qui sont prévues pour être stable, seulement modifiées
pour corriger les bugs, et les sous-versions "impaires" indiquent un flux
"expérimental" qui poursuit le but d'ajout d'améliorations
et d'extensions.
Le courant "expérimental" actuel est gnucash-1.3.x, qui est considéré
comme étant instable.
La dernière version stable est la 1.2.x; si vous n'avez pas l'intention
de participer au travail de développement, vous ne devriez utiliser
que cette version, ou une ancienne version 1.0.x.
Ces versions sont assez
stable, avec tous les bugs actuellement connus corrigés.
Une fois le série 1.3.x stabilisée, la prochaine série
stable sera la 1.4.x, et l'expérimentation devrait probablement
continuer avec les 1.5.x.
Si tu es intéressé pour "hacker" sur la version expérimentale,
tu devrais d'abord commencer par lire de bout en bout le document GnuCash
Project Goals(buts du projet Gnucash) afin d'acquérir quelques
perspectives sur la conception globale.
comme il le dit: le GUI était léger, le code était
documenté et bien structuré, et il était entièrement
sous GPL. Aussi, il le ré-écrit : ajoutant des widgets de
cellules avec XbaeMatrix, alors que les combobox et flèches devaient
faire de nouveau une même GUI légère, réécrivant
le code interne de X-Accountant pour lui ajouter la double-entrée,
une hiérarchie de comptes, l'augmenta d'un mini-moteur de transaction,
ajouta le support pour les actions, et ajouta les menus d'aide. C'était
la version 1.0 de Janvier 1998. Depuis lors, pour la version 1.1, le moteur
fut étendu et redéfini, et le code de la fenêtre d'enregistrement
fut complètement reconçu et fait pour la plupart en Motif
et indépendant du GUI. Présentant un certain prototype de
OFX fonctionnant.
fit connaître au public largement et grandement le projet GnoMoney,
et alors changea son nom en GnuCash. Jeremy créa le site web de
gnucash.org, enregistra le domaine, fit fonctionner le code initial en
GTK/gnome.
abusa tout le monde pour ne pas utiliser perl, et alors ajouta le support
guile/scheme. Rob maintient l'infrastructure de construction, traite de
toute chose qui touche au langage d'extension guile/perl, et traite de
configuration et configurabilité.
Localise (traduction et adaptation) Xacc et Gnucash pour la France et les
pays francophones.
Travail effectué : traduction du Readme, des messages et de
l'aide en ligne de Gnucash en français.
A fini de traduire tout le site web de Gnucash en français sauf
la liste de courriers, et le maintient à jour.
gnucash-1.0.18 (ex xacc-1.0.18) est connu pour fonctionner dans ces différentes
configurations :
Linux 2.0.x -- Intel w/ RedHat Motif
Linux 2.0.x -- Intel w/ Lesstif v0.81
Linux Debian -- Intel w/ Lesstif v0.81
SGI IRIX -- MIPS
IBM AIX 4.1.5 -- RS/6000
SCO Unixware 7 -- Intel
SCO OpenServer 5.0.4 -- Intel
NetBSD -- Intel
Historique
Le tableau ci-dessous montre quelques historiques
de lignes de code et le nombre de fichiers comptés pour le développement
du projet X-Accountant/GnuCash
Statistiques de l'historique du développement
Version
moteur
registre
grand livre
motif
prefs (scm)
docs (html)
divers
Total
xacc-0.9
Sept 97
-
-
-
34 fichiers
(7.5+0.9)
-
5 fichiers
(0.4)
-
39 fichiers
(8.8)
xacc-0.9w
Dec 97
-
-
-
51 fichiers
(13.8+1.5)
-
9 fichiers
(0.8)
-
60 fichiers
(16.1)
xacc-1.0.17
Fev 98
-
-
-
52 files
(14.8+1.8)
-
12 files
(1.4)
-
64 files
(18.0)
gnucash-1.1.15
Aou 98
24 fichiers
(6.2+1.5)
31 fichiers
(6.1+1.7)
5 fichiers
(1.4+0.4)
30 fichiers
(7.4+0.7)
3 fichiers
(0.3)
16 fichiers
(1.9)
non compté
(>1.0)
109 fichiers
(32.9)
gnucash-1.2.2
Aou 99
41 fichiers
(10.2+3.6)
28 fichiers
(5.5+1.7)
14 fichiers
(2.4+0.6)
26 fichiers
(8.7+0.5)
14 fichiers
(1.4)
30 fichiers
(2.6)
non compté
(>1.0)
153 fichiers
(37.2)
Chaque cellule contient:
nombre de fichiers *c et *.h
(KLOCS dans *.c + KLOCS dans *.h),
où KLOC == kilo-lignes-de-code, comme rapporté par
wc.